"Apparu dans les années 1980, le travail de Philippe Favier a d’emblée séduit et interpellé par sa singularité.
Si pendant quelques années il a exposé dans le monde entier en compagnie des artistes de la figuration libre, on découvre assez vite que son univers emprunte beaucoup au cinéma, à la poésie, à la « grande » peinture et à la photographie.
Ce qui caractérise l’œuvre de Favier est sans doute la permanence de son inventivité et la liberté qu’il s’accorde à casser les images qu’il initie. Dans cette société étiqueteuse, il est assez délicat d’apparaitre à chaque exposition avec un travail renouvelé. Mais depuis plus de trente ans et après trois rétrospectives, Philippe Favier a réussi avec une indéniable cohérence à créer une des œuvres les plus foisonnante et des plus originale de sa génération.
Ainsi pour celui que l’on classe trop facilement au « rayon peinture », ce n’est pas sans une certaine espièglerie qu’il présente pour la première fois réunis ses travaux « photographiques »." MEP
Ce qui caractérise l’œuvre de Favier est sans doute la permanence de son inventivité et la liberté qu’il s’accorde à casser les images qu’il initie. Dans cette société étiqueteuse, il est assez délicat d’apparaitre à chaque exposition avec un travail renouvelé. Mais depuis plus de trente ans et après trois rétrospectives, Philippe Favier a réussi avec une indéniable cohérence à créer une des œuvres les plus foisonnante et des plus originale de sa génération.
Ainsi pour celui que l’on classe trop facilement au « rayon peinture », ce n’est pas sans une certaine espièglerie qu’il présente pour la première fois réunis ses travaux « photographiques »." MEP
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